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           La presse
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Journalistes :

 

La neutralité et l’objectivité existent-elles ?

 

Etes-vous tous neutres, impartiaux, critiques, doté d’une éthique qui vous place au-dessus des contingences et des appréciations douteuses ? Réalisez-vous vos articles en fonction de vos observations et de données réelles ? Il est de coutume, chez les journalistes d’affirmer que les faits sont sacrés.

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Comment se fait-il que les informations divergent et se diffusent avec une force antagonique à nulle autre pareille ? Pourquoi, chez certains, le blanc devient rouge et vice-versa ?

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Les chroniqueurs scientifiques ont-ils tous une formation scientifique ? Permettez-nous d'en douter et pourtant les malades comptent sur vous pour informer de la situation telle qu'elle est vraiment !

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Quand la presse parle de Lyme
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Santé

 

Avec le docteur Gayet

 

L’imposture psychosomatique comme prétendu diagnostic (de secours) de maladies complexes. Les maladies psychosomatiques sont souvent évoquées ces dernières années. Un flou subsiste pourtant sur les contours de ces maux.

Il est beaucoup question de maladies psychosomatiques depuis quelques années, alors qu’il semble exister un flou quant à leurs définitions et leurs contours. Qu’en est-il précisément ?

Stéphane Gayet : Le terme psychosomatique connaît un net engouement depuis quelques décennies déjà. Les ouvrages qui traitent du sujet se sont multipliés et se vendent bien. Mais derrière ce terme avenant, se cache une véritable nébuleuse et de graves abus de son utilisation.

Le cerveau et le corps ne font qu’un : un truisme que l’on semble redécouvrir sans cesse

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Il est facile de comprendre que le cerveau et le corps forment une unique entité, l’être humain. C’est déjà évident quand on considère les influx nerveux moteurs volontaires qui commandent les muscles rouges ou striés (les muscles volontaires) et les influx nerveux sensitifs et sensoriels conscients qui apportent au cerveau des informations concernant l’état du corps et l’état des relations du corps avec son environnement immédiat. Lire +

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Maladie de Lyme : vers un nouveau diagnostic sanguin plus précis et plus rapide ?

12/09/19

Julie P.

 

La maladie de Lyme, transmise par des tiques infectées, reste compliquée à diagnostiquer avec les examens sérologiques classiques. Pour améliorer le parcours médical du patient, des chercheurs américains ont mis au point, grâce à des essais réalisés sur le modèle animal, une méthode ne cherchant plus un seul marqueur biologique de la maladie infectieuse, mais six. Retour sur ces travaux parus dans la revue Frontiers in Cellular and Infection Microbiology.

Un diagnostic sanguin qui reste encore trop imprécis

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Lorsqu’une personne présente des symptômes cliniques typiques de la maladie de Lyme ou borréliose de Lyme (érythème autour de la piqûre, fièvre, fatigue, douleurs musculaires et/ou articulaires), le médecin va rechercher un marqueur biologique attestant de la présence de la bactérie Borrelia burgdorferi dans le sang du patient. Lire +

La presse
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Le professeur Christian Perronne est en colère. Et pas une colère froide de scientifique, une vraie colère indignée lorsqu’il évoque l’errance des malades de Lyme, le sort qui leur est fait quand on les envoie dans les hôpitaux psychiatriques ou encore le fait qu’on les écarte totalement de la recherche plutôt que de les y associer.

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Des chiffres anxiogènes

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Christian Perronne dresse le tableau clinique de la maladie et évoque des chiffres anxiogènes, tout en précisant que son propos ne vise pas à inquiéter. « Beaucoup de gens guérissent sans même savoir qu’ils ont été malades », dit-il. Pour autant, il a été confronté en tant que praticien aux formes les plus chroniques et les plus critiques de la maladie. « Et c’est comme ça en France, si on se plaint trop fort, on vous répond que c’est dans votre tête ».

Concernant le test, il s’indigne également que des personnes – des médecins – aient pu écrire qu’il était parfait. « Nous sommes très loin de cette réalité-là ». Lire +

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Faut-il se protéger pendant la grossesse ?

Par Santé Magazine

Elena Bizzotto

 

Une morsure de tique peut transmettre plusieurs virus et bactéries responsables de maladies variées. En cas de grossesse, il est donc particulièrement important de se protéger en renforçant son système immunitaire et en adoptant les bons gestes pendant les promenades en extérieur.

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Au vu de l'augmentation du nombre de cas de maladie de Lyme, et de la quantité de tiques, il est naturel de s’inquiéter, surtout lorsque l’on est enceinte. En effet, les tiques peuvent transmettre plusieurs virus et bactéries responsables de maladies comme la maladie de Lyme, les encéphalites, les fièvres hémorragiques et certaines rickettsioses. Toute morsure ne provoque pas forcément une maladie, mais doit être considérée comme suspecte.

Lire +

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Maladie de Lyme : « Halte à la désinformation organisée »

Tribune.

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La polémique scientifique s’amplifie autour des maladies à tiques. Deux médecins répondent à un éditorial de Santé publique France.

La presse

Par le Professeur Christian Perronne et le Docteur Alexis Lacout

Le 13/05/19

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Dans un éditorial publié dans le Bulletin épidémiologique hebdomadaire du 3 mai 2019, « Un nécessaire questionnement éthique », le professeur Jean-Claude Desenclos, directeur scientifique, adjoint au directeur général de Santé publique France, a pris parti, sans support scientifique, contre l'existence d'une forme chronique de la maladie de Lyme. Cette maladie en pleine expansion est due à une bactérie, appelée Borrelia, qui est transmise par piqûre de tique. Or, cette forme chronique de la maladie est responsable de la souffrance d'un grand nombre de malades qui sont en grande majorité rejetés par le système de santé, voire carrément envoyés en psychiatrie.

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Les patients atteints par des formes chroniques de maladie de Lyme et co-infections ont depuis longtemps déserté les services d'infectiologie et sont désormais quasi exclusivement soignés par des médecins de ville. Il est très choquant que le Pr Desenclos accuse ces médecins héroïques d'être à l'origine de l'errance thérapeutique des malades. Ne voyant pas les patients ou refusant de les suivre au-delà de quelques jours à quelques semaines, le niveau d'expertise des services d'infectiologie sur la maladie de Lyme est conséquemment très faible. Lire +

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"Un vaccin pour la méningo-encéphalite à tiques existerait donc !

Les suisses en bénéficient, mais pas les français.

Pour quelles raisons, cette maladie ne passe-t-elle pas les frontières ?"

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