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            Aux jardins, les bonnes pratiques  
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Avec les beaux jours, les tiques sont de retour. Le printemps est précisément la période d'activité maximale des tiques.. Si vous vivez dans une maison avec un jardin vous étés chanceux mais les tiques peuvent roder. On n'y pense jamais tellement nous ressentons psychologiquement notre maison et notre jardin comme des lieux sécurisants et de détente.les tiques aiment plutôt l'ombre et l'humidité. Soyez prudent car 27% de personnes sont contamines dans leurs jardins voire dans leurs maisons.  

Comment protéger sa maison ?

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La barrière anti-tiques pour votre jardin
Fort de la connaissance du mode de vie des tique l'astuce est de créer une "barrière sèche" ensoleillée autour de la zone de vie, qui peut être une allée gravillonnée ou recouverte d'écorces, un massif d'arbustes espacés sur sol paillé, un mur de pierres scellées ou un enclos de poules.

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La Tique Clinique

Maladie de Lyme : comment réduire la présence de tiques près de sa maison ?

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Le printemps est précisément la période d'activité maximale des tiques. On les trouve en masse dans les zones boisées et humides, les herbes hautes des prairies, les jardins, les parcs forestiers ou urbains, ainsi que sur les animaux. On les trouve en masse dans les zones boisées et humides, les herbes hautes des prairies, les jardins, les parcs forestiers ou urbains, ainsi que sur les animaux. Comment protéger sa maison ?

 

Les tiques ne sont naturellement pas infectées, mais se contaminent en se nourrissant du sang des animaux sauvages contaminés. Elles ne se déplacent pas loin non plus par elles-mêmes. Cependant, la propagation des tiques par différents vecteurs (rongeurs, oiseaux migrateurs, animaux domestiques) fait qu'il est possible de se faire mordre en dehors des bois et des espaces naturels. Elles peuvent par exemple se coller aux oiseaux migrateurs et tomber loin de leur emplacement d'origine. Lire +

L’Agence nationale de sécurité sanitaire, de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) vient de diffuser des recommandations pour se prémunir de leurs piqûres et éviter de contracter la maladie de Lyme.

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Des moyens de prévention ont en effet fait leurs preuves. Les connaissances sur les tiques sont encore incomplètes, mais une communauté internationale de scientifiques mène des travaux sur ce parasite, Le moyen le plus efficace pour ne pas se faire piquer par les tiques est d’éviter leur contact. 

 

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à l’affût au sommet d’une brindille.

Les tiques passent plus de 90 % de leur temps en liberté dans la nature.

 

Elles ont développé un système de détection sensible à des stimuli divers indiquant la présence d’un hôte tels que les gaz produits par les ruminants, les vibrations de l’air, la variation de température associée à la présence d’un animal à sang chaud – ou d’un être humain.

 

Après avoir décelé l’existence d’un hôte potentiel, elles se postent à l’affût au sommet d’une brindille. Lors du passage de l’hôte, elles s’attachent à ce dernier afin d’effectuer leur repas sanguin.

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Favorisez leurs ennemis naturels

Les tiques ont relativement peu d’ennemis naturels, mais des témoignages concordants indiquent toutefois que les pintades et les poules constituent de redoutables mangeurs de tiques.

Lire+

Des plantes anti-tiques pour le jardin

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Quelques exemples de plantes aromatiques : basilic, thym citron, laurier ...

 

Quelques exemples de fleurs répulsives : absinthe, géranium citronnelle, lavande, mélisse, lantanier.

 

Les chrysanthèmes, et notamment le pyrèthre de Dalmatie, qui est un chrysanthème dont on extrait le Pyrèthre naturel.

Une approche sanitaire écologique de lutte contre les tiques : les poules. Elles sont efficaces au possible, peuvent avaler plusieurs centaines de tiques par jour, voire même des colonies s’il s’en trouve sur leur chemin.

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La variété 

Au printemps 2014, Camille Estrade, qui gère une écurie de propriétaires à proximité de Bazas, doit faire face à un problème sanitaire plus aigu que d’habitude : sur huit chevaux au pré, cinq développent une piroplasmose, maladie transmise par la tique et qui nécessite un traitement urgent et coûteux.

Biologiste de formation, Camille Estrade commence à réfléchir à une solution pour éradiquer les tiques à proximité de son élevage. Les prairies sont bordées de zones forestières et de friches attractives pour les colonies de tiques, vecteurs de maladies pour les chevaux et les humains. Or, la tique a quelques prédateurs naturels, comme les hérissons, des oiseaux, des lézards et… les poules. « Dans un milieu favorable, une poule peut manger jusqu’à 300 tiques par heure. Il fallait donc trouver la bonne poule ».


« Ça marche »
La poule landaise dératicator – puisqu’il s’agit d’elle – vit en liberté, est robuste et dort dans les arbres. L’espèce est menacée mais quelques éleveurs s’attachent à la sauver. Camille Estrade engage alors un partenariat avec le Conservatoire des races d’Aquitaine et l’association de la Poule Landaise. Elle accueille les premiers volatiles chargés de décontaminer la prairie et les bois alentours. Et ça marche : l’objectif « zéro véto » pour les urgences parasitaires est atteint.

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Il convient de noter que l’expérience est réussie mais non adaptée partout et dans toutes occasions.

Il est préférable de chercher des races du terroir adaptées au climat de la région dans laquelle nous vivons en évitant de déplacer les poules landaises dans le nord-est de la France, par exemple. Il est possible d’en trouver en tapant "poule race rustique + votre région" sur les moteurs de recherche.

 

Camille Estrade rajoute que toutes les poules élevées en plein air sont insectivores et chasseuses de tiques et qu’il existe d’autres races, comme la poule antistress, bien plus adaptées à un jardin traditionnel.

https://www.femmeactuelle.fr/sante/news-sante/ecarter-les-rongeurs-pour-lutter-contre-la-maladie-de-lyme-41894

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