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La SPILF - Société Française d’infectiologie de langue française,
 une association loi 1901 regroupant les professionnels de la santé interessés par les maladies infectieuses et tropicales.  
La SPILF

La SPILF

Les recommandations

Détracteurs de SPLIF

Détracteurs de SPLIF

Les recommandations

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Les Recommandations de la SPILF, association composée de 24 Sociétés Savantes de Médecine, signataire des dites Recommandations ont provoqué un tollé général jamais connu auparavant dans le monde de la médecine. Elle heurte les malades, leurs associations et les Lyme Doctors qui s'opposent fermement à cette controverse fondamentale, en particulier concernant la chronicité.
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Il faut être conscient que la SPILF n'est qu'une association et qu'en revanche c'est la HAS, l'organisme reconnu par l'Etat, qui est chargée de diriger, d'écouter, recueillir les données de la littérature scientique actuelle et créer les Recommandations de bonnes pratiques médicales.  
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Les associations comme la nôtre sont choqués et déplorent que la SPILF n'ait pas daigné se rendre aux convocations de la HAS organisées depuis plusieurs mois pour débattre du sujet et que le Collège National des Enseignants Généralistes refuse d'enseigner le SPPT (Syndrome Polymorphe Persistant après une possible morsure de Tique).
SPILF - Recommandations, 
Les recommandations de la SPLIF et de 24 Sociétés Savantes de Médecine signataires de dudits recommandations  ont crée un tollé jamais auparavant connu dans le monde de la médecine.  Elles heurte les malades et leurs associations d'autant plus qu'elles s'y opposent aux recommandations  émises par la Haute Autorité de Santé (aller à  L'HAS)
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Nous allons revenir sur cette énorme controverse fondamentale pour l'avenir des patients alors que La maladie est devenue particulièrement insidieuse, mettant en échec tant les méthodes de dépistage que les traitements conventionnels.
 
Douée d’un extraordinaire polymorphisme, Borrelia peut changer de forme lorsqu’elle rencontre une patrouille immunitaire. Elle sait même se débarrasser de son enveloppe protéique externe, ce qui empêche le système immunitaire de l’identifier comme intrus. Pire, elle peut revêtir des protéines de nos propres cellules, conduisant à des réactions auto-immunes, c’est-à-dire que nos défenses peuvent prendre nos cellules pour des ennemis. Mais tout le monde ne semble pas connaitre cette capacité de déguisement et de transformation pourtant connu et reconnu pour d'autres agents pathogènes
 
Mais comment en sommes-nous arrivés là ?
Ces liens ci-dessous sont issus de la page officielle de la SPLIF
Recommandations sur la Borréliose de Lyme et autres maladies vectorielles à tiques élaborées par la SPILF et 24 sociétés savantes ou collèges professionnels.

En instance de parution dans Médecine et Maladies Infectieuses

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Voir aussi les versions "sous presse" dans MMI des argumentaires:

I Prevention, epidemiology, diagnosis/Prévention, épidémiologie, circonstances du diagnostic.

 

II: Biological diagnosis, treatment, persistent symptoms after documented or suspected Lyme borreliosis/Diagnostic biologique, traitement, symptômes persistants au décours d'une borréliose de Lyme documentée ou suspectée.

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Professeur Pierre Tattevin, Président de la SPILF

La tique clinique

Qu'est ce que la SPILF ?

La Société de Pathologie Infectieuse de Langue Française est une association loi 1901 regroupant les professionnels de la santé interessés par les maladies infectieuses et tropicales.

 

Objectifs

Créée en 1974, la Société de Pathologie Infectieuse de Langue Française, société transversale regroupant tous les praticiens s'intéressant à l'infectiologie, a pour objet de :

  • Faciliter, coordonner, encourager, stimuler ou créer toute structure ayant pour objet l'infection.

  • Organiser réunions et congrès scientifiques traitant de l'infection, directement ou indirectement.

  • Faciliter l'éducation de tous acteurs de santé se consacrant à l'infection.

  • Aider les pouvoirs publics dans la diffusion et l'application des recommandations concernant le diagnostic, le traitement et la prévention des infections.

  • Coopérer avec les Organismes Internationaux d'étude de l'infection.

  • Publier les travaux de ses membres.

Membres adhérents

Au 31 décembre 2018, la SPILF comptait plus de 500 adhérents.
La SPILF est ouverte à tout médecin, biologiste, pharmacien, chercheur intéressé ou impliqué en pathologie infectieuse selon les objectifs définis ci dessus.

Lire +

  Recommandations de la Haute Autorité à la Santé, 

La HAS

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Cette recommandation de bonne pratique s’inscrit dans l’axe stratégique 3 du « Plan national de lutte contre la maladie de Lyme et les autres maladies transmissibles par les tiques » publié en septembre 2016.

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Elle a pour objectif de faire le point sur :

  • les connaissances scientifiques actuelles concernant la borréliose de Lyme et les autres maladies transmissibles par piqûres de tiques ;

  • la stratégie diagnostique à proposer au niveau national ;

  • les moyens nécessaires pour assurer une prise en charge thérapeutique globale optimale des patients, de répondre à leur souffrance et d'éviter l'errance diagnostique et thérapeutique et ses dérives potentielles.

 

Elle se découpe en 5 chapitres :

  • Prévention des maladies vectorielles à tiques

  • Borréliose de Lyme

  • Autres maladies vectorielles à tiques

  • Symptomatologie/syndrome persistant(e) polymorphe après une possible piqûre de tique (SPPT)

  • Propositions aux décideurs publics

 

 

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Aller directement aux PDF

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Si nous ne sommes pas toujours d'accord avec leurs "façons de procéder",

il n'en reste pas moins vrai que nous sommes tous dans le "même bateau"

et que c'est ENSEMBLE que nous pourrons y arriver !

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2 JUIN 2019 PAR LE DROIT DE GUÉRIR

Analyse critique des recommandations FakeMed de la SPILF pour le Lyme

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Le 13 mai 2019, la SPILF publiait ce qu’elle considère comme des “recommandations” pour la maladie de Lyme en France. Sans grande surprise, ce texte n’a pour but que de défendre des dogmes et les intérêts d’un groupuscule d’infectiologues aux abois. Les préoccupations des auteurs sont bien éloignées de la démarche scientifique, et de la santé des malades.

 

Pas de prophylaxie pour les femmes enceintes contaminéesCe texte présente en filigrane les tiques et élude par-là même les autres vecteurs et autres modes de contamination avérés. Tout un chapitre, certes intéressant, est dédié à la taxonomie des tiques et aux mesures pour s’en protéger, mais strictement rien n’a été écrit pour les autres modes de contamination et ce chapitre n’apporte pas de valeur ajoutée à un texte qui se veut mettre en avant des lignes directrices à suivre pour les docteurs. Il aurait notamment été souhaitable de produire des recommandations pour les médecins qui prennent en charge les femmes enceintes contaminées. Quand, en p.2, il est précisé qu’il n’existe aucune situation justifiant une antibioprophylaxie post-piqûre de tiques en France, le cas de la femme enceinte en est pourtant une. Lire +

Un document très bien conçu du DROIT DE GUÉRIR concernant nos detracteurs    
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