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                 Co-infections et chronicité

Il existe plus d'une dizaine de co-infections, Nous allons faire le point sur ce probleme majeur

 

La bactérie « Borrelia Burgdorferi » inoculée par la piqûre de tique, responsable de la maladie de Lyme  ou borréliose de Lyme. On sait aujourd'hui, qur cette borrelia  peut être accompagnée d’autres virus, bactéries et protozoaires au cours d’une même piqûre. Ainsi d’autres infections peuvent apparaître : on les appelle des co-infections de la maladie de Lyme


Si l’on parle aujourd’hui de plus en plus de la maladie de Lyme, il est plus rare d’entendre parler de ses co-infections qui sont pourtant non-négligeables si l’on en croit les cas de maladie de lyme chroniques qui peuvent en résulter ou l'aggravation possible de celle-ci.

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avec pages dans le site

 1) La Babésiose                                                        
 2) La Tularémie  
 3) Les Arboviroses
 4) Les Bartonelloses
 5) Les Rickettsioses
 6) La méningo-encéphalite à tiques
 7) La mycoplasmose

 8) L’Erhlichiose 

9) L’Anaplasmose 

10) La fièvre Q

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avec des liens exterieurs

11) STARI
12) Fièvre à tiques du Colorado

13) Encéphalomyélite de Powassan
14) Fièvre pourprée des montagnes Rocheuses
15) Paralysie à tiques
16) Fièvre récurrente mondiale

Maladie de Lyme, l’Alsace écartée !

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La guerre des pro-Lyme chronique et des anti-Lyme chronique continue Cela faisait des années que l’épouse du docteur Gérard Simler de Marckolsheim souffrait de douleurs intenses, de grosses fatigues. Des symptômes qui correspondent à ceux de la maladie de Lyme. Une maladie touchant des milliers d’Alsaciens due à une piqure de tique porteuse de la bactérie Borrelia burgdorferi. Officiellement, selon un protocole de 2006, cette maladie infectieuse se soigne par une cure d’antibiotiques. Si les symptômes persistent, il faut chercher ailleurs. Ce protocole est régulièrement remis en cause par de nombreux médecins qui attestent que la maladie de LYME peut-être chronique et doit être soignée en tant que telle. Alors que de plus en … Lire la suite de

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Alsace, est jute un exemple de la problématique actuelle qui ne fait que laisse pour compte des nombreux patients, le plus fragilisés

​Par la force des choses, le docteur Gérard Simler s’est intéressé à la maladie de Lyme.

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Pour Heb’di, le médecin de Marckolsheim a exposé ses réflexions pour mieux comprendre la polémique sur la maladie de Lyme

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Le Dr Gérard SIMLER osé exprimer ses opinions ! et  “met les points sur les i “dans la revue alsacienne HEB’DI. Un grand bravo  

Maladie de Lyme, l’Alsace écartée !

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La guerre des pro-Lyme chronique et des anti-Lyme chronique continue Cela faisait des années que l’épouse du docteur Gérard Simler de Marckolsheim souffrait de douleurs intenses, de grosses fatigues. Des symptômes qui correspondent à ceux de la maladie de Lyme. Une maladie touchant des milliers d’Alsaciens due à une piqure de tique porteuse de la bactérie Borrelia burgdorferi. Officiellement, selon un protocole de 2006, cette maladie infectieuse se soigne par une cure d’antibiotiques. Si les symptômes persistent, il faut chercher ailleurs. Ce protocole est régulièrement remis en cause par de nombreux médecins qui attestent que la maladie de LYME peut-être chronique et doit être soignée en tant que telle. Alors que de plus en … Lire la suite de

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Alsace, est jute un exemple de la problématique actuelle qui ne fait que laisse pour compte des nombreux patients, le plus fragilisés

​Par la force des choses, le docteur Gérard Simler s’est intéressé à la maladie de Lyme.

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Pour Heb’di, le médecin de Marckolsheim a exposé ses réflexions pour mieux comprendre la polémique sur la maladie de Lyme

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Le Dr Gérard SIMLER osé exprimer ses opinions ! et  “met les points sur les i “dans la revue alsacienne HEB’DI. Un grand bravo  

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Nous citons le docteur Gérard Simler :

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La guerre des pro-Lyme chronique et des anti-Lyme chronique continue.


Cela faisait des années que l’épouse du docteur Gérard Simler de Marckolsheim souffrait de douleurs intenses, de grosses fatigues. Des symptômes qui correspondent à ceux de la maladie de Lyme. Une maladie touchant des milliers d’Alsaciens due à une piqûre de tique porteuse de la bactérie Borrelia burgdorferi.

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Officiellement, selon un protocole de 2006, cette maladie infectieuse se soigne par une cure d’antibiotiques. Si les symptômes persistent, il faut chercher ailleurs.


Ce protocole est régulièrement remis en cause par de nombreux médecins qui attestent que la maladie de LYME peut-être chronique et doit être soignée en tant que telle.


Alors que de plus en plus de pays prennent en compte la chronicité de la maladie, la haute autorité de santé (HAS), l’académie de médecine et d’autres organes officiels tels que Agence de Santé Régionale (ARS) se bornent à refuser ce principe.
L’ARS reconnaît néanmoins quelques avancées comme la possibilité de diagnostiquer la maladie, sans s’appuyer sur des tests sérologiques non fiables.

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Les médecins peuvent désormais suspecter une maladie de Lyme persistante (ou des co-infections) à partir de l’ensemble des symptômes cliniques et ordonner un traitement d’épreuve antibiotique de 28 jours, en vue d’une confirmation du diagnostic

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Un sujet que nous avons traité à maintes reprises. Lire +

Les tiques, par leur durée de vie et leur méthode d’alimentation peuvent transmettre des dizaines d’agents pathogènes. Une tique peut porter plusieurs dizaines, voire centaines de bactéries.

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Ces bactéries lorsqu’elles sont transmises à l’homme sont à l’origine de maux : les co-infections. Plus précisément, cela signifie que la personne concernée est infectée par plusieurs bactéries en même temps. Et c’est l’un des points les plus débattu dans la controverse sur la maladie de Lyme

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Les patients et les spécialistes pro-Lyme recommandent de traiter toutes les maladies transmises par les tiques à l’aide d’antibiotiques. Dans le cadre d’une possible Lyme chronique ils envisagent une posologie à long terme. Lire +

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Articles sur la Persistance de la bactérie et les co-infections

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Pour aller plus loin .

 http://www.pediatre-online.fr/infections/maladie-de-lyme-stop-a-lymemania/

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  1. La synthèse du Plan national de lutte contre la maladie de Lyme et les maladies transmises par les tiques, Ministère de la Santé, septembre 2016.

  2. Le rapport du Haut conseil de la santé publique sur la maladie de Lyme, 2014.

  3. La position de la SPILF en réponse à l’appel des médecins publié dans L’Obs, SPILF, juillet 2016.

  4. « Maladie de Lyme. Le cri d’alarme de 100 médecins : Il y a urgence ! », L’Obs, 13 juillet 2016

  5. Les recommandations de la SPILF sur la prise en charge de la maladie de Lyme, 2006.

  6. Pourquoi la maladie de Lyme est-elle si difficile à diagnostiquer ?, Sciences et Avenir, juin 2016

  7. Les recommandations de l’IDSA sur la prise en charge de la maladie de Lyme, 2006. (en anglais)

  8. Les recommandations de l’ILADS sur la prise en charge de la maladie de Lyme, 2014. (en anglais)

  9. Berende A et al. « Randomized Trial of Longer-Term Therapy for Symptoms Attributed to Lyme Disease. » N Engl J Med. 2016 Mar 31;374(13):1209-20 (étude randomisée néerlandaise sur l’efficacité de 12 semaines de traitement antibiotique contre la maladie de Lyme).

  10. Le procès en appel des « rebelles » de la maladie de Lyme s’ouvre à Colmar, Le Monde, 7 octobre 2016

  11. Maladie de Lyme. Prise de position de l’Académie nationale de médecine, François Bricaire, Académie de médecine, 20 septembre 2016

  12. L’Académie de médecine face à la « Lyme mania », JIM.fr, 21 septembre 2016

  13. Une présentation du projet « Oh ! Ticks », groupe SPILF – COREB, juin 2015.

 

Sur VIDAL.fr : 
VIDAL Reco Maladie de Lyme

Sources : Ministère des Affaires sociales et de la Santé

Article publié par VidalNews octobre 2016

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