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    AFIS (Association Française pour l'information scientifique)
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L'Association française pour l'information scientifique (AFIS) est une association loi de 1901, fondée par Michel Rouzé en novembre 1968 sous le nom de l'Agence française pour l'information scientifique, et dont le siège est à Paris. Composée de bénévoles, elle tire ses ressources du magazine qu'elle édite, Science et pseudo-sciences, et des cotisations de ses adhérents.

 

Issue du courant rationaliste français, elle se donne pour objectif de « promouvoir la science » et de donner « un éclairage sur des sujets de société qui sont traités de manière pseudo-scientifique et font l'objet de polémiques ou désinformation » L'association fait l'objet de diverses critiques, notamment pour ses prises de positions jugées favorables aux OGM.

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Création : novembre 1968

Président : Louis-Marie Houdebine

Zone d'activité : Pays francophones

Affiliation : Conseil européen des organisations sceptiques

Siège social : 4 rue des Arènes 75005 Paris

Type d'activité : Organisme sans but lucratif

Cette Association à honore les patients de Lyme qui deviner chronique , des prises de positions que les malades et les association considèrent contraires  à leur intérêts et à leur droit aux soins nécessaires. Notre association existe pour défendre les intérêts de patients.

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AFIS : information scientifique ou manipulation de l’opinion ?

Si l’on en croit les tribunes de Jérôme Quirant, des associations sans aucune légitimité alimenteraient des peurs irraisonnées dans l’opinion et bloqueraient « le progrès ».  Lire +

08-10-19

Lyme : La loi peut-elle dire la science à l’encontre du consensus scientifique et au mépris de l’intérêt des patients ?

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Une proposition de loi vient d’être déposée par un peu plus de 80 députés de tous bords. Elle vise à « étudier la reconnaissance de la chronicité de la maladie de Lyme » et propose de « définir précisément ce qu’est la forme sévère ou chronique » de la maladie.

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La représentation politique est bien entendu dans son rôle quand il s’agit de décider de l’affectation de budgets de recherche ou d’infléchir une politique de santé publique. Mais est-elle légitime pour établir des faits scientifiques, décider de l’existence d’une nouvelle forme de pathologie ou la définir ?

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La maladie de Lyme fait régulièrement l’objet de campagnes largement relayées dans les médias affirmant l’existence d’une « forme chronique » de la maladie qui serait rebelle à tous les traitements recommandés. Cette forme serait « ignorée des autorités médicales officielles » et justifierait la mise en œuvre d’approches thérapeutiques particulières (antibiothérapies longues, traitements mélangeant homéopathie, caissons hyperbares, chélation, détoxifications, etc.). Aucune d’entre elles n’a fait la preuve de son efficacité et elles présentent même souvent un danger pour les patients qui y ont recours. Ces campagnes ne font qu’aggraver la souffrance de nombreux patients en errance diagnostique et en poussent un certain nombre vers des traitements onéreux qui les éloignent d’une prise en charge adaptée. En France, 24 sociétés savantes se sont récemment alarmées de cette situation d’abord préjudiciable aux patients……………..Lire+

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 Afis : information scientifique ou manipulation de l’opinion ?

Publié le 29 août 2013 à 16h17

Par fabrice_flipo

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Si l’on en croit les tribunes de Jérôme Quirant, des associations sans aucune légitimité alimenteraient des peurs irraisonnées dans l’opinion et bloqueraient « le progrès ». Des arguments qui me rappellent trait pour trait ceux du fameux appel de Heidelberg, lancé peu avant le premier Sommet de la Terre de Rio en 1992.

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Le problème avec ce soi-disant promoteur de la « science », c’est qu’il fait un usage extrêmement libre de « la science ». Les erreurs sont grossières, la méconnaissance des dossiers est flagrante, même pour un amateur éclairé.

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Making of

Les tribunes publiées ces derniers mois sur Rue89 par Jérôme Quirant, professeur de mécanique à Montpellier, parfois accompagné de Nicolas Gauvrit, spécialiste de mathématique et de psychologie, ont suscité un vif émoi. Une partie de la communauté scientifique les accuse de n’être pas pertinents sur le plan scientifique, mais aussi d’avoir des partis pris idéologiques. Maître de conférence en Philosophie des sciences et techniques, Fabrice Flipo répond ici aux articles des deux auteurs, qu'il considère comme tissés de ficelles réthoriques. Jérôme Quirant et Nicolas Gauvrit sont tous deux membres du comité de rédaction de l’Association française de l’information scientifique (Afis), dont la revue trimestrielle, Science et pseudo-sciences (5000 exemplaires) a une influence grandissante auprès des décideurs. Sophie Caillat......Lire +

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